jeudi 29 janvier 2009

Problème technique

Mon nouveau header Que pensez-vous de cet image ? Je l'ai choisi pour remplacer mon actuel header (le titre et description du blogue) que je commençais à trouver plutôt moche. Faut dire ici que j'ai passé la nuit à trouver la façon de l'installer. Faut dire aussi que je possède le nouveau modèle de Blogcrowds (pas le classique), un modèle 3 à colonnes. Il semble tout à fait compatible et il est codé en utf-8.

Grâce à une blogueuse que je connais depuis quelques années maintenant, mon amie Âme Tourmentée a bien voulue m'aider à personnaliser ce carnet. Le rendre encore plus présentable. À mon goût, quoi. C'est un blogue qui parle d'histoires de taxi, alors pourquoi ne pas le présenter par une image ? Un titre c'est évocateur, certes. Mais l'image d'un lanternon de taxi, ça vaut mille mots, non ?

Cependant, j'ai tenté par tous les moyens disponibles et que je connais pour l'installer cet image et après une nuit complète sans résultat, je m'avoue vaincu. J'ai même envoyé un courriel à l'amie qui me l'a créée et j'attend sa réponse pour bientôt.

J'avais déjà procédé à l'installation d'une image en remplacement du header original à mon ancien blogue et tout avait bien fonctionné pourtant. Avec celui-ci, niet, rien, nada. Je ne sais plus quoi faire...

Alors je vous lance la demande officielle avant de lancer la serviette : connaissez-vous une personne bien au fait avec Blogger et qui a déjà installé des headers ? Si oui, je vous invite à communiquer avec moi via mon courriel. J'attend votre réponse avec impatience...

Bonne nuit et merci pour vos commentaires!

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mercredi 28 janvier 2009

Estimation du prix d'une course de taxi

J'ignore si je pourrai rejoindre les internautes qui pourraient bien avoir besoin de cet outil, plus qu' utile pour la plupart, mais j'ai décidé de publier tout de même ce billet. En fait, c'est surtout une invitation que je vous lance, celle d'utiliser un service qui vient tout droit du blogue de monsieur Jean S. ( Montreal Taxi Blog ).

Évidemment, c'est un outil spécifique aux habitants de la grande ville de Montréal. Et comme j'ignore tout à fait comment l'étendre à la Rive-Sud, ce que je doute faire un jour malgré une heureuse initiative ou une quelconque aide, je tenterai de vous en expliquer le fonctionnement dans son état actuel. Pour le moment, j'ai seulement inséré le lien de la page « Montreal Taxi Fare Finder » en français pour vous faciliter la tâche. Comme je sais que la plupart des blogueurs sont bilingues, comme moi, j'ai préféré l'afficher dans ma langue maternelle et pour celle des visiteurs francophones.

À ce que j'ai pu comprendre, ce calculateur (bien ingénieux) ne fonctionne qu'avec seulement trois (3) points de départs et de destinations déjà pré-établis et enregistrés. Ces points sont situés à Montréal. Uniquement deux de ces endroits bien connus, soient le Centre Bell et l'Aéroport Montréal-Trudeau (YUL) nous intéresse, pour ceux et celles qui résident sur la Rive-Sud du St-Laurent. Le parc d'attraction La Ronde-Six Flags m'intéresse peu parce qu'il n'est ouvert que durant la belle saison estivale plutôt qu'à l'année longue.

Ce que vous devez savoir en réalité avec ce service, c'est qu'il fonctionne très bien. L'ayant essayé moi-même avec mon adresse de départ (une adresse fictive située à Boucherville) et l'aéroport de Dorval comme destination et le prix estimé s'est avéré juste dans les deux cas. Il calcule même le pourboire (environ 15%) avec le trajet demandé et vous informe sur l'estimation du nombre de kilomètres à parcourir. Intéressant, non ? Voici un exemple entre une adresse à Boucherville et le Centre Bell :

« Ce trajet de taxi coûtera environ C$44.10. C'est environ C$51 avec un pourboire de 15%. Il est de 22.9 km. »

Dans un même ordre d'idée, il existe un autre outil encore plus précis pour aider les chauffeurs de taxi et le public en général, pour la planification de voyages au Québec, entre-autre. L'outil d'estimation des distances routières est plus efficace pour parcourir de plus longues distances mais uniquement à l'intérieur des limites territoriales de la province. Je crois en avais déjà parlé lors d'un billet antérieur.

Pour terminer, un rappel important : n'oubliez pas de lire le dernier paragraphe, celui situé à la toute fin de la page du Montreal Taxi Fare Finder. Et si jamais vous aviez besoin d'une aide quelconque, si petite soit-elle, n'hésitez pas à m'en parler ; simplement me faire parvenir un courriel avec une description de la demande. Je vous répondrai dans les plus brefs délais.

À bientôt !

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lundi 26 janvier 2009

L'alcool et le taxi

Je ne sais pas trop si je coure après les clients malades ou non mais il semble de plus en plus qu'à la veille de terminer mon quart de travail, je tombe sur ce type de clientèle. Des jeunes, surtout et apparemment. Pourquoi encore moi ? Franchement, je l'ignore et même si je le savais, je m'arrangerais bien pour éviter ce piège merdique et puant qui m'irrite au plus haut point.

Dimanche matin, je dois me rendre à l'adresse d'une résidence située dans un quartier bien ordinaire mais tout de même à proximité du quartier industriel. Je stationne devant la maison en question et quatre jeunes, deux filles et deux garçons arrivent vers moi. L'un d'eux soutiennent l'une des jeunes filles. Plutôt grassette et coiffée d'une casquette blanche de capitaine de bateau, les gars l'installe sur le siège arrière côté droit. Tout le monde bien assis et attachés sécuritairement, et après avoir reçu la consigne pour la direction à prendre, je quitte les lieux en direction de St-Lambert.

En chemin, mais n'ayant pas encore quitté la rue de ladite maison, je demande aux jeunes si la fille «à la casquette» va pouvoir tenir tout le voyage. Qu'elle ne sera pas malade en route. Le garçon assis directement à sa gauche lui demande plus fort (elle avait tendance à s'assoupir, comme la plupart des gens ayant consommés de l'alcool) et répond clairement qu'elle ne sera pas malade. Depuis quelques temps, j'ai appris à me méfier de ce genre de réponse. Vous en aviez d'ailleurs eu la preuve avec une publication, version «allongées» sur le sujet, l'an dernier.

Sa réponse ne m'avait pas paru satisfaisante. Je reconnaissais surtout le même regard que des clients/es d'alors avaient déjà eu et qui avaient par la suite, à plus ou moins brève échéance, généreusement dégopillé sur la banquette arrière du taxi. Cette cliente allait me refaire le même coup. J'avoue pour sa gouverne qu'il est surement difficile de ne pas être malade dans une voiture qui roule et dont le paysage défile assez vite. Sans parler des vibrations et des imperfections de la route qui n'aide en rien.

J'attend donc au feu de circulation qui me permettra de prendre la bretelle pour atteindre la voie rapide de la 20 (Nord) Ouest, puis l'autoroute 132 vers l'Ouest également. Le feu passe au vert et je vire pour emprunter la bretelle d'accès sur la 20 quand j'entends un gargouilli provenir de l'arrière. Sans regarder, je gare la voiture et place le bras de vitesse sur «P». Tout s'est déroulé en une fraction de seconde. Un mini geyser est sorti de la bouche de mademoiselle «à la casquette» et le frais liquide chaud et nauséabond a aspergé une partie des pantalons de son copain et passager assis «drette» à côté.

J'ai recommencé à paniquer. L'odeur qui se dégageait rapidement derrière moi était insoutenable. J'avais même oublié d'ouvrir la fenêtre dans ma panique. Mais le mal était fait et je devais continuer le voyage pour pouvoir les débarquer au plus sacrant et nettoyer la voiture le plus rapidement possible. Il était presque 2h30 du matin.

Étant reparti, les trois autres jeunes dont la jeune fille qui était assise à ma droite étaient mal-à-l'aise et ça se voyait. Elle m'a dit qu'elle était vraiment désolée pour l'autre fille et qu'elle allait m'aider à nettoyer la voiture avec ses copains en arrivant chez ses parents. Ce n'était pas vraiment elle et ses chums que je blâmais mais la raison qui l'avait amenée à être malade dans l'auto : l'alcool et aussi le fait que cette jeune femme n'aie pas pu ou voulu se contrôler à bien boire. Tu peux boire mais de façon responsable. Me semble que c'est pas bien dur à comprendre...

Je sais parfaitement que mon travail me demande de reconduire les gens en état d'ébriété. C'est ma job et je l'assume. Mais jusqu'à une certaine limite aussi. Ce n'est pas parce que vous êtes ivres à l'excès que ma voiture devrait se transformer en sacs à vômis. Pousse mais pousse égal. Sachez aussi que nous ne sommes pas obligés de vous prendre si on constate que vous n'êtes pas en état de marcher ou en état de parler. On préfère vous laisser vous dégriser un peu plus.

Donc j'embarque sur la voie rapide de la 132 vers l'Ouest et je roule un bon 3-4 minutes déjà que j'entend un autre gargouilli sonore et sinistre provenir de la gorge de la dame «à la casquette». Je me tasse de nouveau sur l'accotement et après avoir immobilisé le taxi, je me retourne craintivement pour assister à ce triste et lamentable spectacle, un déjà vu que j'aurais voulu remiser au fin fond de ma mémoire. La fille venait de recommencer la séance d'arrosage et semblait en épandre généreusement sur son compagnon voisin. Celui-ci, dégoûté, aurait voulu l'abandonner dehors malgré le froid glacial qui sévissait. Mais la loi m'en emêchait et, de toute manière, ça ne se faisait pas.

Après être demeurée quelques minutes à l'extérieur et en étant bien certaine qu'elle allait mieux, je suis reparti vers ma destination. Après avoir stationné le taxi, les jeunes sortis en vitesse et l'autre demoiselle, plus sobre et plus aimable certainement, m'ayant payé la course, elle me remis un vingt dollars additionnel pour les dégâts causés par sa copine. Et elle me jura qu'à l'avenir, elle serait plus prudente et plus adroite pour détecter ce genre de comportement avant de «caller» un taxi.

Après l'avoir remerciée, je suis reparti en direction du garage le plus proche. Je devais nettoyer ce «mess» qui était pire que je l'aurait cru en réalité. D'ailleurs, mon quart de travail n'était pas terminé tout à fait. Je ne sais pas comment j'ai fait pour tout nettoyer mais avec ce froid, la vitre arrière avait gelé avec le produit que j'avais dû prendre pour enlever les taches collées dans la fenêtre. Plus la moitié de la banquette, plus le tapis sauf-pantalon et la portière intérieure. Une vrai sinécure. Avant de quitter le garage Esso, j'avais placé des pages de journal sur le siège pour éviter que la clientèle ne s'y assoit par mégarde. Le siège n'était pas encore sec, loin de là.

J'ai quand même réussi à terminer avec un bon voyage vers Longueuil et un petit dernier vers l'aéroport. Ma seule crainte : avoir plus qu'un passager. Et lors de ces deux voyages, j'avais eu un passager à la fois, et elles étaient toutes bien installés à mes côtés. Heureusement pour moi...

Bonne nuit !

P.S. : Avez-vous déjà entendu parler du Cyclo-Défi contre le cancer ? Connaissez-vous quelqu'un au prise avec cette maladie ? On s'en reparle bientôt !

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vendredi 23 janvier 2009

Pendant et après le boulot

Après une nuit de travail, peu importe les heures, et en revenant à la maison je dois savourer ma relaxation. En effet, comme ce métier entraine un stress fou au chauffeur de taxi, il est important de bien choisir son temps pour se défaire du stress de la journée/soirée/nuit.

Pour vous donner une idée des émissions de télé que j'affectionne particulièrement, j'ai choisi le système de diaporama (slides) qui montre les images représentant mes séries de télé les plus regardées et enregistrées sur mon Illico, avec l'aide du site Internet Slide.

Je dois vous avouer ici que mon quotidien se résume quelque peu en un rituel plutôt spécial mais important pour moi. Vers 17h30, je quitte pour prendre livraison du taxi chez le chauffeur de jour. Entre 18h00 (l'heure officiel de mon quart de travail) et 4h00 du matin je bosse. Après, je quitte pour la maison et à partir du moment où je suis à la maison, je débute le rituel :

  • Je termine ma paperasse (je calcule à la semaine le 60% de ma proprio)
  • Je mange
  • Je lis mon courriel
  • Je répond aux commentaires s'il y a lieu
  • Je lis et publie mes commentaires sur mes blogues favoris
  • Je regarde mes émissions
  • Je publie un billet s'il y a lieu
  • Je vais dormir...

Je vous laisse donc visionner à votre guise le diaporama qui est, en fait le reflet d'une partie de ma vie privée, de mes habitudes dans la vie au quotidien.

Je sais que ce billet n'est pas énorme ni très original, mais je vous révèle à ma façon mes habitudes vécues au jour le jour, ce qui est beaucoup pour moi. Sur ce, bonne nuit tout le monde !

Jean-François

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mardi 20 janvier 2009

Coeur sensible s'abstenir

En ouvrant mon blogue ce matin, je me suis rendu compte que j'avais eu de la visite. En fait, c'est en regardant de plus près les images, les vôtres surtout, sur le mur de mes abonnés fidèles que j'ai découvert une nouvelle venue : Les Mondes de Toutarmonie. Et curieux comme je suis, je me suis garoché sur sa page, histoire de connaitre ce nouveau monde virtuel.


En arrivant sur la page, le titre du billet rédigé récemment m'accroche et m'incite à le lire en profondeur. Je découvre par la suite que nous vivons dans un monde de pure égoïsme et de pure cruauté, non seulement envers notre propre espèce mais aussi et surtout envers les espèces du monde animale, celles qui nous entourent et qui font partie intégrante de notre mode de vie.

À la fin du texte, un lien est inséré et invite le lecteur à se rendre sur la page de Google Video. EARTHLINGS est le titre du documentaire long-métrage (temps : 1h35:36 secs) qu'il faut voir à tout prix. Voici le résumé de son contenu :

« earth-ling (terrien) n. (nom) : Qui habite la planète Terre »

« EARTHLINGS (qui signifie Terriens, en anglais) est un documentaire long-métrage sur la dépendance absolue de l'humanité à l’égard des animaux (animaux de compagnie, nourriture, habillement, divertissement, et recherche scientifique) mais aussi sur l’irrespect total pour ceux qu’on peut aussi qualifier de « marchandise ».
Le film est narré par Joaquin Phoenix (Gladiator) et la musique est celle du célèbre Moby. Avec une étude approfondie sur les magasins d’animaux de compagnie, les usines à chiot, les refuges pour animaux, mais aussi les manufactures de cuir et de fourrure, les industries de hobbies sportifs et les professions médicales et scientifiques, EARTHLINGS utilise la caméra cachée et jamais auparavant on avait vu ces pratiques au jour le jour, d’une des plus grandes industries au monde, qui se fonde entièrement sur l’utilisation d’animaux pour faire du profit.

Puissant, instructif et provoquant, EARTHLINGS est de loin le documentaire le plus complet jamais produit sur la relation entre la nature, les animaux et les intérêts économiques des humains. On trouve beaucoup de films défendant cette cause, mais celui-ci dépasse tout.
Des Terriens pleurent pour être entendus. Vivement recommandé ! Téléchargez le film à:
http://veg-tv.info/Earthlings . »

ATTENTION :

Ce documentaire est déconseillé aux enfants de moins de 16 ans. Âmes sensibles s'abstenir. Ce film-documentaire américain traite de la place de l'homme dans la nature et son action négative sur le monde animal. Aussi puissant que "Une vérité qui dérange" de Al Gore. Il faut le voir absolument !

Il a eu un énorme succès aux USA et remporté de nombreux prix et nominés aux Oscars. Le narateur est le célèbre acteur Joaquin Phoenix (Gladiator) et la musique est de Moby. Il y est question notamment de l'industrie et sa responsabilité dans la cruauté envers les animaux (attention : certains passages sont très durs), comme par exemple la façon abominable dont les japonais exécutent les dauphins pour vendre ensuite leur chair, en la faisant passer pour de la baleine, contournant ainsi la loi.

Voir la bande-annonce du film

Synopsis : en utilisant des caméras cachées et des images jamais montrées, EARTLINGS est une chronique des pratiques des plus grandes industries actuelles, dont les profits dépendent pour toutes - d'une manière ou une autre - de l'exploitation animale.

Note : C'est un des meilleurs documentaires que j'ai vu dernièrement, de par la qualité photographique, la musique (de MOBY) et la profondeur du thème abordé.

********************

J'aime les animaux et je ne suis pas végétarien pour autant. Mais quand je verrai de la viande dans mon assiette, j'aurai sûrement des questions qui me viendront à l'esprit... Et vous ?

EARTHLINGS DVD

Bon appétit et bonne nuit !

Jean-François

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lundi 19 janvier 2009

Pas drôle vieillir

Un autre dimanche occupé. Normalement, le radio-taxi demeure allumé, parce que ça ne vaut pas la peine de l'éteindre pour quelques heures à peine. Et il l'était à mon arrivé. Le moteur tournant à plein régime (il avait eu le temps de refroidir à mon arrivé), j'avais eu le temps d'enlever la mince couche de neige avant de prendre le volant et de me rendre sur le poste. Il valait mieux que je laisse le moteur et l'habitacle se réchauffer plus rapidement en roulant. Il n'était donc pas question de laisser ma clientèle attraper une grippe par négligeance de ma part.

Même pas le temps de sortir de l'entrée de garage du chauffeur de jour (je vous présente André, un chauffeur de 40 années d'expérience) que le répartiteur annonce pour la énième fois qu'il se cherche, encore, un taxi pour Boucherville. Aussitôt embarqué et assis sur mon siège, j'appuie sur le bouton du microphone accroché bien à sa place, ni trop haut, ni trop bas. Jean prend ma position, demande la position des autres voitures dans la ville et constatant que je suis le seul, me transmet l'appel via mon radio-taxi.

Voyant qu'il a neigé, encore une fois, je me demande si je serais encore la seule poire à travailler pour pouvoir répondre à la demande. Le dimanche, normalement, c'est plutôt tranquille, je l'admet. La plupart du temps, on est à peine deux ou trois à répondre à la clientèle régulière. Et on arrive très bien à se débrouiller. Le salaire n'est pas négligeable non plus. Et c'est tant mieux.

Mais aujourd'hui ? Je suis tout seul. Et apparement, selon Jean, le répartiteur de la fréquence 1, je le suis depuis les environs de 17h. Pas de quoi fouetter un chat, pas encore. Le rush est encore loin. Comme je disais, je me débrouille comme je peux. Et si je continue à ne faire que des voyages locaux, je pourrai souffler un peu tout en m'occupant de mes tâches journalières (remplir mon livre journalier; remplir ma feuille de route, celle qui me permet de calculer les montants dûs à la propriétaire du taxi que je dois remettre une fois par semaine, puisque je travaille à 40% - 60%). Et c'est là que va commencer mon fun. Que la situation va se corser.

Au deuxième appel, on me demande de prendre un client dans un bar miteux du vieux Boucherville. Situé sur la rue qui semble aussi vieille que sa fondation même, j'ai nommé Marie-Victorin, la taverne a pour habitude de recevoir des clients qui la fréquente fréquemment. Je regarde l'heure affichée devant moi et constate qu'il est tôt pour ce type d'appel. 19h00 à peine...

J'arrive par la rue De Muy, tourne à droite sur Marie-Victorin et fais un demi-tour plus ou moins autorisé devant le commerce et me place en parallèle contre le trottoir, devant la porte. J'appréhende le pire parce que ce bar est reconnu pour sa clientèle de buveurs de mauvaises volontés et bien mauvais payeurs. Mauvais payeurs, pas tant que ça, puisque de telles voyages à cet endroit, je n'en ai connus aucun. Je touche du bois !

Mon mosieur sort en titubant. Il doit avoir dans la soixantaine avancée. Grand et maigre, fidèle au régime alimentaire des ainés, il s'avance vers ma voiture d'un pas incertain. Il veut ouvrir la portière avant. J'ouvre la fenêtre et l'invite à prendre place à l'arrière; mon siège contient encore mes effets personnels que je n'avais pas encore eu le temps de placer. Car normalement, j'ai pour habitude de me rendre sur le poste 22 et de commencer la rédaction de mon rapport journalier.

Le client commence à perdre patience, et ne veut pas s'assoir à l'arrière. Surtout pas. C'est bien connu, les clients mâles préfèrent la place réservées à côté du chauffeur. Et normalement, je ne rechigne pas. Presque jamais en fait. Mais comme il a commencé à chiâler et qu'il puait l'alcool à plein nez, il ne me manquait que LA raison pour le faire grimper derrière.

Une fois à bord et après avoir lâché un chapelet de jurons, je me dirige chez lui. Un trajet d'à peine 15 minutes mais qui aurait été plus court s'il avait été plus aimable. En court de route, en plus de marmonner constamment en sourdine, il me lance que j'ai fait un détour. Je rétorque qu'il aurait dû me donner son chemin sil avait été moins arrogant. Ne m'écoutant pas, il continue son chiâlage intempestif.

Peut-être quelques minutes avant d'arriver, je ferme le compteur, juste par souci de transparence et stop le taxi devant la porte. Sur un billet de vingt dollars, je lui remet le change pour douze. Je n'espère rien d'autre en compensation et me remet, oh surprise, un pourboire de $2. Sa façon de me l'avoir remis m'incita à ne rien ajouter d'autre que le «merci» traditionnel et sincère.

La «ride» était courte, le colérique personnage qui déblatérait sans cesse, comme si le caractère allait de paire avec l'âge et l'état d'esprit de cet ainé, respecté de ce type de commerce, bien connu de cette petite localité qu'est Boucherville. En fait, bien connu comme «Barrabas dans 'passion», comme dirait l'adage bien de chez nous.

Je suis parti après avoir jeté un dernier regard à ce monsieur âgé qui marchait, encore aussi maladroitement vers la porte de son logement. Je me disais en le voyant s'éloigner que je peux avoir mauvais caractère mais pas à ce point quand même! Je ne bois pas. Jamais bu. J'ignore même la sensation d'être ivre ! Mais pour l'avoir côtoyer, cette sensation, je peux bien m'en passer vous savez. Le simple fait de ne pas être moi-même, de ne pas être en possession de mes moyens, me répugne au plus haut point. Alors tant pis si je suis différent de vous, les gens dits «normaux» mais je m'aime bien comme je suis, sobrement parlant je veux dire...

Voilà pour ce dimanche de janvier. Et sans oublier de vous mentionner que mes copains sont revenus me rejoindre plusieurs heures plus tard, quand l'ouvrage était passé. Payant pour moi, oui mais emmerdant. Pas eu le temps de souper ni de souffler. Et des sandwichs au oeufs (elles sont plus fraîches) je commence à en avoir assez. Je travaille ce soir et en ce lundi matin, à l'heure que je rédige ce billet, je constate qu'il floconne dehors. Assez pour ne pas ignorer qu'une mince couche blanche recouvre l'Escape. Mais je m'en tappe, car c'est la Douce qui va avoir le privilège et le plaisir de la déneiger...

Je vais me coucher fatigué mais content de ma nuit malgré tout. Bonne nuit tout le monde!

Jean-François

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samedi 17 janvier 2009

Ce que j'aime écouter dans mon taxi

 Amanda Marshall

Je n'ai rien de particulier à vous raconter pour le moment. Parcontre, j'aimerais vous faire partager un vidéo-clip d'une artiste que vous avez certainement entendu parlé : il s'agit de la torontoise Amanda Lindsay Marshall, née le 29 août 1972.

Selon le site Web Canadians.ca, «elle est la chanteuse-née de Toronto qui a étudiée au Conservatoire de Musique Royal de la ville-reine. Outre l'obtention d'un succès record multi-platine avec son auto-intitulé debut, elle a également eu un succès similaire avec son deuxième album "Tuesday's Child" en 1999 . Elle a été décrite comme «l'amour des enfants de Janis Joplin et Joe Cocker" par un critique, mais on pense qu'elle a sa propre voix.»

La vidéo que je vous présente sur cette page est intitulée : «Believe In You» et est tiré de son album «Tuesdays' Child», enregistré en 1998. Par ailleurs, j'avais entendu parler d'Amanda Marshall par son succès Dark Horse (1996) à l'époque où je conduisais des autobus touristiques du genre d'Orléan Express.

On pourrait donc affirmer que c'est l'une des artistes que j'écoute le plus souvent dans le lecteur CD de mon taxi et surtout cette chanson en particulier. Et à chaque fois que je la fais jouer, elle vient me chercher profondément. C'est inévitable et merveilleux en même temps.

Je vous laisse sans plus tarder avec cette grande artiste canadienne, maintenant âgée de 37 ans. J'espère que vous aimerez le clip et m'en donnerez des nouvelles. Petite précision ici : je n'ai pas trouvé de vidéo-clips de cette chanson dans sa version «vraiment» complète.

Bonne nuit tout le monde!

Jean-François

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jeudi 15 janvier 2009

Froid de canard

Faut je retourne au boulot cet après-midi pis ça me tente vraiment pas. Faut dire que j'ai seulement pris 1 jour de congé. Je sais pas si vous le savez mais il fait vraiment «frette» dehors. La nuit, ça peut atteindre des températures avoisinant les -25 Celcius !

En ce qui concerne le transport par taxi, des températures comme celle que nous vivons actuellement sont bonnes pour les affaires, surtout pour ceux et celles qui travaillent de jour. Quant à ceux qui doivent le faire après le coucher du soleil, c'est moins évident. La nuit, la plupart des gens ne sortent plus vraiment. Ils vont limiter les sorties au strict minimum. Et je ferais pareil !

Mais dans tous les cas, et peu importe les prévisions du temps, il se trouvera toujours quelqu'un qui aura besoin d'un taxi... Boucherville est une ville cataloguée comme étant «snob», «riche», «cheap» (ou chiche) envers les pourboires. Cependant, les gens sont pas mal plus éduqués sur les conséquences de l'alcool au volant. Mais parcontre, nous avons des clients réguliers et ça, ça équivaut à de l'or en barre.

Quand on rencontre le client et qu'on le reconnait par celui-ci, ça ne peut pas être mieux. En tout cas je préfère revoir le même visage et se faire payer la course plutôt que d'embarquer un client qui a l'air douteux et qu'on ne sait rien de lui. La vie est ainsi faite. Faut employer la ruse et la prudence lorsqu'on bosse pendant des heures...



Et si vous voulez savoir, je me gèle le c** à essayer de partir mon Escape toute neuve (achat : 2008 mais la livraison était pour octobre 2007). Oh, il démarre, pas de problème. Et du premier coup! Seulement, il fait frette en calvaire dehors. Mais on a voulu entreprendre ce voyage dans le sud, ma Douce et moi. Alors, choisir entre le voyage et le démarreur à distance, ce fut le voyage, évidemment. Ce sera par la même occasion de voyage de noce. Et comme je m'étais marié dans l'état de New York, ça devrait être du gâteau. Mais le démarreur, lui, je me promet de le faire installer avant l'hiver prochain, foi de Jean-François...

Et vous ? Allez-vous sortir et braver le froid par cette température ? Ou vous allez prendre un taxi, histoire de laisser votre véhicule dans le stationnement extérieur ? Autre question pertinente par rapport à ce temps de cochon : saviez-vous que la plupart des compagnies de taxi offraient les services de «déverouillage de portières» et de «survoltage» (boost) ? On le fait souvent, par ici.


Il fait froid!!!

Et la demande est plutôt forte. Bon, mes paupières commencent-elles mêmes à se refermer tout seul. C'est pas bon signe tout ça... N'oubliez pas de protéger vos extrémitées, les amis/es.

Bonne nuit la gang !

Jean-François

Ma signature autorisée

mardi 13 janvier 2009

En reprise sur YouTube

J'ai lu vos commentaires récemment concernant mon témoignage audio-vidéo. Tous positifs et je ne vous remercierai jamais assez pour ça. Je m'attendais pas ça en réalité. Il n'y a que mon amie blogueuse (on se connait maintenant depuis 5 ans!) qui n'a pas pu la visionner. Et ce billet se veut un peu une reprise du précédent, pour lui permettre de voir ce visage qui se cachait depuis tant d'années derrière cette page virtuelle. Enfin !

Ma chère Âme Tourmentée, tu vas pouvoir le regarder pendant... euh... le temps que tu voudras bien, cet extrait vidéo de moi-même, conduisant mon taxi vers Montréal via le tunnel Lafontaine et accompagné de-mon-interlocuteur-scénariste-en-herbe. By the way, as-tu reçu mon courriel ?

Étant donné que j'ai dû faire quelques changements dont celui d'enregistrer la vidéo sur mon disque dur (maudine que je suis brillant), me rendre sur mon compte YouTube, uploader la vidéo, la mettre en ligne et retirer ainsi le bon code pour l'intégrer à ce blogue et vous permettre ainsi de pouvoir la visionner sans pépin aucun.

Par ailleurs, petite précision ici : pendant que vous regardiez les images, vous entendiez sûrement la voix de Jean en «background vocal», la voix sortant du radio CB, le répartiteur de la compagnie de Radio Taxi Union (Longueuil) demander des voitures à Boucherville. Et bien ce soir-là, on manquait de véhicules. Heureusement que j'allais pas trop loin...

    Dites-moi au moins que ça marche, cette fois...;)

    Je n'ai pas voulu vous casser les pieds une deuxième fois avec ça, déjà que ça m'a tout pris pour la publier de nouveau. Et ce sera la dernière, faites-moi confiance... Mais, entre vous et moi, je ne crois pas que cette extrait ne fera pas trop d'adeptes, surtout sur un site comme YouTube...Et j'espère itou que ça ne fera pas trop de vagues non plus...

    Mais je suis fier de mon coup pareil... Vous ne le seriez pas vous ?

    Bonne nuit tout le monde !

    Jean-François

    P.S.: Je préfère nettement ma photo-profil en début de page. Une belle façon, convaincante je l'admet de rester jeune. Je m'aime mieux comme ça...

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    lundi 12 janvier 2009

    Supris par une vidéo surprise

    Quelque chose d'assez inhabituel s'est produit à mon deuxième voyage dimanche soir. Un client que j'étais venu prendre dans un hôtel huppé de Boucherville m'avait proposé une entrevue à la caméra ! Surtout lorsqu'il a su que j'avais un blogue, la tentation était trop forte...Et pourquoi pas ?

    Après avoir rangé son équipement dans la valise du Malibu, je me suis rassis sur mon siège et lui sur le siège de droite. Après m'avoir donné sa destination, j'avais commencé à rouler vers la bretelle d'accès de l'autoroute 20 Ouest, vers le tunnel Lafontaine. Son iPhone à la main, et pointé dans ma direction, il me posa les questions habituelles comme «depuis combien de temps faites-vous le métier de chauffeur de taxi ?», «pourquoi avez-vous choisi ce domaine ?», «pourquoi travaillez-vous la nuit ?», et ainsi de suite.

    Mais je me sentais tout drôle. Autant que je peux être timide devant une caméra, alors imaginez devant un téléphone... muni d'une caméra! Une chance que j'avais pas un caméraman de TVA à mes côtés... Et puis, en conduisant, tu essaies de répondre aux questions et de garder ton calme. Loin d'être évident. En studio, les gens sont loin des caméras. Dans la voiture, tu l'as presque dans la figure. C'est assez unique comme expérience, faut croire.

    L'entrevue terminée, mon client, une personne sympathique et qui m'a rapidement mis à l'aise, me certifia qu'il me laisserait le lien pour que je puisse enfin visionner le résultat tant attendu. Après l'avoir aidé à débarquer ses effets, je l'ai remercié chaudement et je suis reperti vers mon patelin que je connais si bien maintenant. Et pendant le trajet de retour, je ne pensais qu'à ça. Durant tout le reste de mon quart, je ne pensais qu'à ça. J'avais tellement hâte de finir...

    Arrivé à la maison, je me suis dépêché d'ouvrir l'ordinateur, d'ouvrir le blogue, d'ouvrir mon courriel. Oui, un message de ce monsieur était arrivé. Vite, je clique sur le bouton «Play» et regarde la vidéo. Je parle de mon métier. Je le dis avec conviction, avec sincérité. Je ne me trouve pas si pire malgré la piètre qualité de l'image. Le son est bon quant à lui. C'est le principal. Je suis somme tout satisfait de moi. J'aurais pu dire des conneries par timidité. Évidemment, c'est une entrevue pas mal «amateur» à voir par les images et surtout de la manière dont «l'animateur» termine l'entrevue. Je ne sais pas, je ne suis pas habitué à ce genre de chose. J'aurai sûrement l'air idiot. Je m'en attend.

    Maintenant, je me demande si je devrais vous la montrer. Cela implique que je devrai me dévoiler à vous, mes fidèles lecteurs/trices. Vous aller me dire que la photo de mon profil est bien différente de l'image que vous venez de voir. Oui, je sais. J'ai vieilli depuis le temps du collège, du secondaire. Je préfère une image rétro, une image de jeunesse.

    Bon, je vous laisse à vos critiques. Ce n'est qu'un vidéo après tout et j'ose pas encore me décider si je place le lien ou pas. Et vous ? Vous voulez le voir ce vidéo ? Cliquez juste ICI. Merci encore et... Bonne nuit!

    Jean-François

    Ma signature autorisée

    dimanche 11 janvier 2009

    L'art de bien stationner un 747

    Vous voulez rire ? Vous allez vous plier en deux avec ce vidéo d'un comique à s'en décrocher la mâchoire.

    Pour les messieurs qui ont déjà piloter un avion sur simulateur via leur ordinateur, ceci n'est rien comparé à ce que vous allez voir. Attachez votre tuque avec de la broche, et priez pour que votre prochain vol ne soit pas une course en plein ciel...


    J'espère qu'après avoir vu cette vidéo-montage que vous n'aurez pas la frousse en avion. Mais sachez qu'il ne faut surtout pas provoquer l'égo des pilotes de ligne, hein ?

    Ma signature autorisée

    J'aurais dû y penser...

    Bon voilà, j'ai reçu la réponse de courriel de Joé, le webmestre du site Cinoche.com à propos de ses codes JavaScript. Voici sa réponse :

    «Bonjour,

    Votre site est en encodage UTF-8 et nos blocs javascript sont en ISO-8859-1. Malheureusement il n'existe pas de solutions faciles, à moins de tout faire passer votre site en ISO-8859-1. Une autre solution pourrait être d'utiliser un widget quelconque (il en existe des centaines de ce type de service sur le web) pour afficher le tout à partir de nos fils RSS qui sont, eux, en UTF-8.

    Joé :-) »

    Donc, comme vous l'aurez remarqué, j'ai tout supprimé et remplacé le tout par sune série de liens plus crédibles et efficaces. J'ignore encore si des lecteurs seront tentés de les visiter mais il y en a plusieurs qui semblent être plutôt intéressant, en particulier le lien sur le doublage au Québec ( http://www.doublage.qc.ca/ ) et la page qui montre le doublage en neuf étapes.

    La prochaine fois que vous irez voir un film en français dans un cinéma près de chez vous, si votre film est doublé au Québec et que vous reconnaissez les voix de nos comédiens, dites-vous bien qu'il a travaillé très fort pour vous donner cette qualité de doublage. En terme d'heures de travail, c'est énorme.

    Quoi qu'il en soit, je suis déçu que la plupart des codes en Java ne fonctionnne pas avec la plate-forme Blogger. Vraiment très déçu... Mais je vais me rattraper en ajoutant des liens ayant rapport avec mon domaine. Après tout, je suis chauffeur de taxi, non ?

    Bonne nuit !

    Jean-François

    Ma signature autorisée

    jeudi 8 janvier 2009

    Erreur de codage avec Cinoche.com

    Comme vous l'avez constaté avec cet avant-dernière publication, je m'amuse. Au lieu d'aller me coucher plus tôt, je fignole un peu, à gauche et à droite pour réorganiser l'antre dans lequel je vis, mon taxi-maison ou, si on veut, mon chez moi virtuel.

    Pour faire un court résumé de la situation, je veux apporter des améliorations pour alléger cet endroit tout en voulant donner aux internautes des liens utiles. Plutôt que de copier vulgairement les liens voulus, je tente de jouer au webmestre (si, j'ai du talent dans ce domaine). Dans le fond, c'est pas vraiment compliqué, à moins de faire une gaffe énorme, il s'agit de copier les codes JavaScript dans «Modifier le code HTML» de votre blogue (Créer un message blog).

    La plupart du temps, tout se passe bien, comme avec Nord-Cinéma ou bien avec Sécurité Informatique et Internet. Mais cette fois-ci, avec Cinoche.com, quelque chose m'a échappé et vous voyez le résultat maintenant : les accents n'apparaissent pas. Je viens d'envoyer un courriel au webmestre de Cinoche pour lui en faire part et si solution il y a, qu'il m'en avise sans tarder. On verra bien ce que ça donne et moi, j'aurai appris quelque chose de plus.

    Vous savez, Lily m'avait conseillée de couper dans les Widgets et elle avait raison. J'ai supprimer pas mal de ces trompes l'oeil qui ralentissaient l'ouverture du blogue. Mais comme je ne peux pas créer des pages html supplémentaires, je le fais via la création de messages blog. Ça revient au même. Le seul problème : il faut la publier pour qu'elle devienne visible.

    En attendant la réponse de Cinoche.com et en attendant que la correction soit faite, ne prêtez pas trop attention à ma bêtise. J'apprend et j'aime expérimenter. Ce que je ne peux faire au volant de mon vrai taxi. J'espère que ça ne vous empêchera pas de revenir...

    @+

    Ma signature autorisée

    mercredi 7 janvier 2009

    Encore de la neige...

    Une autre tempête de neige s'abbat actuellement sur nos têtes. Heureusement que nos ancêtres n'avaient pas peur que le ciel, contrairement à leurs cousins germains, leurs tombent sur la caboche sinon on resterait cloîtré dans nos maisons jusqu'à sa fin. Et comme les météorologues prévoient pour deux (2) jours de cette saleté, on aurait l'air fin...

    Pour aujourd'hui j'ai pas grand'chose à dire sauf peut-être d'inciter les automobilistes et, en particulier, mes confrères de travail, à la grande prudence. Il serait plus sage de laisser votre client au métro (Longueuil dans mon cas) plutôt que de rester coincé pendant des heures dans un bouchon de circulation monstre. Mieux vaut faire de plus petits trajets en sécurité que d'en faire des plus gros et de revenir tard. Le client comprendra, du moins, je l'espère de tout coeur pour vous. Ou sinon, prenez donc un taxi! La plupart du monde préfère prendre un taxi bien chaud et dans le confort, et laisser la voiture à la maison plutôt que de prendre la chance de la voir accidentée (hausse des primes d'assurance, pertes de temps au garage, ect.)

    Pour ma part, je vais recommencer le boulot cet après-midi à Boucherville et en espérant que Dame Nature sera plus clémente et que son manteau blanc ne soit pas trop épais. Mais comme les messieurs de la météo sont redevenus plus précis dans leurs prédictions, alors je ne me casse plus la tête. Un jour à la fois comme le dicton populaire le dit si bien.

    Pour les messieurs qui possèdent une souffleuse, tant mieux pour vous. Pour les autres qui vont devoir sortir leurs pelles, n'en faites pas trop. Allez-y à votre rythme. Rien ne presse, au contraire. Rien ne sert non plus de provoquer des troubles derrière le sternum, comme moi en novembre 2005. Je suis loin d'avoir aimé l'expérience, croyez-moi...

    Sur ce, passez une excellente journée sur les routes enneigées du Québec et soyez prudent. Je vous raconterai ma soirée «dans le blizzard» de Boucherville. En attendant, je vais me coucher dans le doux confort de ma douillette.

    @+

    Jean-François

    Ma signature autorisée

    samedi 3 janvier 2009

    Peut-on faire un site Web avec son blogue ?

    Plutôt que de succomber au syndrôme de la page blanche, une expérience que tous les blogueurs auront eu à vivre un jour ou l'autre. Moi, j'ai choisi de parler d'un sujet autre que celui pour lequel j'ai créé ce blogue. C'est vrai, je ne suis qu'un simple et modeste chauffeur de taxi. Et de la banlieu sud, pour être plus précis. Je vous ai même raconter, sur une note de confidence, le lieu exact de mon travail. L'ayant sans cesse évoqué lors de mes billets et libellés antérieurs.

    Pendant que je me plaignais sans cesse du manque de travail pour un vendredi soir, et alors que j'attendais sur le seul poste de taxi (de nuit), et pas loin du très sélect Club Rack N Roll de Boucherville (autre indice), je pensais à ce que j'allais pondre comme billet en rentrant à la maison après une autre nuit bien tranquille.

    Pour moi, un blogue c'est comme un site Web. Tu peux mettre ce que tu veux, écrire ce que tu veux tout en respectant les règlements de Blogger sur le contenu d'un carnet. Mais un blogue à ses limites. Surtout si les usagers utilisent gratuitement les services de Blogger ou WordPress, les deux plus importantes plates-formes pour la création automatique de blogues.

    Contrairement au site Web où l'administrateur peut ajouter des pages HTML. La plupart d'entre vous connaissez les codes html qui servent à créer vos pages Web. La plupart des codes de base sont disponibles via le moteur de recherche Google, que j'affectionne particulièrement. D'ailleurs, pour construire une page html, un simple éditeur pourra suffire, tel que le bloc-notes (notepad). À la fin de votre texte, lorsque vous l'enregistrerez, simplement remplacer le .txt par .html dans Nom du fichier. Aussi simple que cela.

    Quant aux codes html que j'utilise régulièrement, c'est celui qui permet aux lecteurs de cliquer sur un hyperlien sans quitter mon blogue : « target="_blank" » à la fin de la balise qui permettra de créer votre lien comme ceci : « <.a href="le lien du site ici".> le titre du site ici <./a.> » et le tour est joué. Il ne faut jamais oublier de refermer les balises comme ceci : <./a.> (sans les points) sinon vous aller créer une erreur de script et votre lien ne sera pas valide.

    Vous avez peut-être remarqué qu'entre les < > j'avais inséré des points « . » mais normalement il ne doit pas y en avoir. Je me suis rendu compte qu'à la fin de ce billet, lorsque le temps était venu de publier ce texte, je ne pouvais pas. Blogger m'indiquait une erreur de balise et j'ai découvert que c'est l'exemple du « <.a href="le lien ici".> qui avait tout déclenché... Vous comprenez maintenant pourquoi je devais mettre les points... mais pas sur les « i »...

    Voici maintenant à quoi doit ressembler une page html (et sans les points «.») :

    <.HTML.>

    <.HEAD.>

    <.TITLE.>--> Le titre de cette page ici <--<./TITLE.>

    <./HEAD.>

    <.BODY.> Le corps de la page, les codes JavaScript, les images, ect.

    <./BODY.>

    <./HTML.>

    Néanmoins, je ne veux pas me lancer davantage sur ce sujet. Il existe tellement de sites Web portant sur le sujet. Tout ce qui m'importe, c'est la pertinence ou non de se créer de nouvelles pages html à l'aide de l'éditeur de messages de Blogger. En voici un exemple. Mon ami Drew s'est créé une page de blogoliste pour les blogueurs « masculins » nommée Testostérone. À la fin de sa page, les usagers peuvent laisser leurs commentaires. C'est le seul inconvénient comparativement à un site Web dit « normal ».

    Je possédais autrefois, et pas si longtemps (malheureusement) un portail NPDS (Net Portal Dynamic System) et avec ce site, je pouvais ajouter des pages html via un logiciel client FTP ou File Transfert Protocol, un système permettant de copier des fichiers vers un autre ordinateur du réseau, d'administrer un site web, ou encore de supprimer ou de modifier des fichiers sur cet ordinateur. Mais il faut un logiciel FTP pour pouvoir échanger ou supprimer des fichiers. Voilà pour mes goûts de l'informatique et l'Internet, à mes heures bien évidemment.

    Mais vous, qu'en dites-vous ? Parce que le seul moyen de pouvoir alléger notre blogue est de se créer des pages html. Autrement dit, se créer des liens internes à l'intérieur du blogue, du site. C'est bien connu, plus lourde sera la page et plus longue sera le temps de chargement de celle-ci. Par exemple, allez en haut de ma page d'accueil et actualisez-la. Vous avez un bouton que j'ai créé à cet effet. Par la suite, regardez tout en haut de la barre de Blogger. J'ai mis un script Java (JavaScript) qui permet de connaitre le temps de chargement du blogue après chaque actualisation de la page. Pratique comme outil, non ? La plupart du temps, les concepteurs de sites les installent à la fin de la page et non au début. Mais sur un blogue, on dit qu'il est préférable tout en haut de la page.

    J'attend donc vos suggestions. Et par ailleurs, est-ce utile et/ou agréable d'insérer des pages comme connaitre son horoscope, et bien d'autres pages du genre ?

    Merci pour vos suggestions futures et bonne nuit !

    Jean-François

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