mardi 29 septembre 2009

Saleté de maladie, 3e partie

La salle d'attente, la plus grande des deux était bondée. Pleine à craquer. Au fur et à mesure que le jour se levait, que la grande aiguille de l'horloge avançait à chaque minute, les chaises laissées vacantes trouvaient preneurs. Les espaces vides se bouchaient irrémédiablement. 

Les hauts-parleurs fixés au plafond se mettaient à cracher les noms des patients par intervalle. Entre le personnel médical et la foule qui s'aglutinaient dans cet espace restreint qu'était l'urgence, les ambulanciers se frayaient un chemin entre leurs civières et leurs patients, confortablement bien installés. Parfois jetant un regard perplexe dans un environnement devenu soudainement hostile, parfois les yeux fermés en quête d'une paix intérieure, parfois le corps et le visage recouvert d'un drap blanc ou d'une couverture opaque pour ne pas qu'on sache.

J'étais assis sur une chaise roulante appartenant au service de l'urgence. Noire, laide mais utile pour le besoin que j'avais. La jambe gauche légèrement remontée, l'agent de sécurité m'avait installé dos au mur. Celui qui sépare la salle d'attente de l'aire des soins d'urgence. Là où le médecin de garde et les infirmières travaillaient en essayant de ne pas se marcher sur les pieds. Je ne pouvais les voir physiquement mais je savais que ça grouillait derrière moi. À tout cela s'ajoutait le tintamarre horrible et superflu des entrepreneurs en construction. L'urgence de Pierre-Boucher s'offrait une cure de jeunesse.

J'étais revenu peu après huit heures du matin, ayant délaissé l'infirmière du quart de nuit pour une bonne raison : mon fils Médéric aurait besoin de sous pour son diner et je craignais de ne pas être là à son départ pour l'école. Étant arrivé vers 4h00 du matin, vu l'infirmière et la préposé à la réception, j'avais promis mon retour pour 8 heures plus ou moins. Chose promise chose dûe, le gardien de sécurité m'avait installé au meilleur endroit possible, ma chaise roulante prenant un peu de place, surtout avec une jambe surélevée.

Les ambulances se succédaient les unes après les autres. Parfois, le garage seul ne suffisait pas à les garer toutes et certaines devaient rester à l'extérieur, juste devant la porte demeurée ouverte à cause de la chaleur. La journée s'annonçait belle et chaude. Certains allaient fumer dans le garage, d'autres se promenaient pour tuer le temps et en demeurant à proximité des hauts-parleur de la grande salle. Il n'était pas question de rater son tour.

Lorsqu'un véhicule jaune muni de clignotants rouges mais tous feux éteints arriva dans le garage de l'hôpital, je me trouvais juste de l'autre côté de la porte coulissante qui sépare le monde extérieur de la salle d'urgence. M'écartant par réflexe pour laisser passer la paire d'ambulancier en uniforme gris avec la civière entre eux, ils entrèrent normalement mais sans pour autant trainer.

Regardant à travers d'autres personnes devant moi, mes yeux cherchaient quelqu'un ou quelqu'une de coucher sur le brancard. Lorsque celui-ci passa devant moi, en fait, à quelques pieds à peine, seul une couverture grise recouvrait ce qui devait être un corps. Je ne distinguais ni tête, ni pieds, ni rien d'autre. Un cadavre venait de passer devant moi et des dizaines de personnes autour. Un inconnu. Où allait-il ? De quoi était-il décédé ? Était-ce une femme ou un homme ? Était-il jeune ou vieux ? Nul ne pouvait répondre à ces questions qui me trottaient dans la tête depuis cet instant.

J'avoue pour ma gouverne que voir une personne décédée débarquer à l'improviste dans une salle bondée de monde plutôt que de faire un détour par la morgue était assez spécial. Les gens ont regardés et lorsque la civière fut hors de vue, ils ont repris leur occupation principale. Comme une simple distraction qui n'avait fait que passer. Comme si des situations semblables pouvaient arriver chaque jour...

Mon tour arriva dans l'après-midi finalement. Ce fut une femme médecin qui m'avait reçu dans la salle no. 3, tout près de la chaise roulante, celle qui était devenu désormais inutile. L'infirmière m'avisa de mettre la jaquette et d'enlever mon pantalon. Ce qui fut fait rapidement. Assis sur le matelas d'une civière que le personnel avait baissé, je regardais cette jambe qui m'élançait terriblement. Gonflée à l'excès, j'étais dans un sens fasciné par le changement si brutal que mon corps avait subi.

La Dr Richard  arriva une dizaine de minutes plus tard. Elle me questionna sur mes antécédents médicaux et, tout en prenant ses notes, elle appela une infirmière. Je devais subir des prises de sang. En tout, six fioles furent remplies. On a dû même se reprendre une deuxième fois, mes veines semblaient fuir devant les aiguilles. On choisit une veine sur le dessus de la main avec un papillon.

La tentative fut la bonne mais une douleur vive et brûlante effaça pour quelques instants à peine ma satisfaction d'avoir trouver le bon gisement, la bonne veine. Et elle coulait à flot. Les six tubes ne prirent que quelques secondes à remplir. Par la suite, on me demanda de retourner dans la grande salle, le temps de recevoir les résultats des examens, prises de sang et l'ECG.

Je savais que l'électrocardiogramme était normal. On me l'avait déjà annoncé. Ne restait que la balance à connaitre. Et l'attente recommença. Il était passé 14h00 lorsque la Dr Richard m'appela. Levant les yeux vers la voix qui venait de m'identifier, elle me fit signe de la suivre. Tenant la porte ouverte de son pied, elle me fit signe d'entrer dans un local situé tout près de la porte coulissante, celle qui faisait face au corridor. la même  qu'avait emprunter le cadavre quelques heures plus tôt.

Et elle me déballa le résultat des tests tout d'un trait, comme si elle les avait apprise parcoeur. Mon coeur battant la chamade, elle m'annonça que les prises de sang n'avait révélés aucune trombophlébite. Quoi ? Vous voulez rire de moi, là ? Ben non, monsieur Dagenais, jamais dans cent ans, voyons...

Non, en fait j'avais une infection. Une banale infection à la jambe gauche. Une de celle qui pouvait s'apparenter à une phlébite ou trombophlébite. Une prescription d'antibiotique ferait la job et d'ici quelques semaines, tout irait pour le mieux. En autant que je les avale au complet, ma guérison est assurée. Et moi aussi je suis drôlement rassuré. Tout ce texte pour vous dire que ce n'était pas ce que je croyais depuis le début. Et tout ce temps perdu pour une annonce aussi banale, mais combien rassurante...

Bonne nuit !
Ma signature autorisée

dimanche 27 septembre 2009

Saleté de maladie, 2e partie

Nous sommes dimanche matin et je termine mon quart de travail de peine et de misère. Je vous avais parlé vendredi matin de mon urgence médicale et que je vous en donnerais une suite beaucoup plus détaillée. Voici donc la suite de ma mésaventure à l'unité de la salle d'urgence. Mais je vous préviens, il risque d'y avoir une 3e suite. C'est fou comme le syndrôme de la page blanche a du mal à revenir...

Il doit être tout près de 4h00. On est vendredi matin et je suis crevé. Je viens de quitter la station d'essence Pétro-Canada, l'une des trois situées dans le quadrilatère de Boucherville, mais celle la plus à l'est du territoire. 

J'arrive chez André, le chauffeur de jour. Le temps de me stationner et de transférer mes papiers et objets du taxi à mon véhicule sera l'affaire de quelques minutes à peine.

Pendant le fameux transfert entre nos deux véhicules respectifs, je suis peut-être demeuré sur mes deux jambes quelques secondes. Mais ces quelques secondes furent un véritable calvaire pour moi. La douleur lancinante qui paraissait provenir de l'arrière du genou, là ou la peau avait des taches de bleus, était devenue intolérable. Je devais rester en position assise pour faire partir cette douleur atroce.

Je roulais depuis peut-être une bonne quinzaine de minutes et je savais que je me rapprochais de Pierre-Boucher. Je ne voulais pas y retourner. Mais la douleur me rappelait soudainement la triste réalité à laquelle je faisais face. Je voulais éviter d'y entrer mais d'un autre côté, j'étais confronté à une autre réalité, tout aussi réelle : la perte de revenu pour une journée, peut-être deux. Et ça, je ne pouvais pas me le permettre. J'ai trop besoin d'argent. Pas obsédé à ce point-là mais comme cet été fut d'un calme plutôt désarmant, mes revenus avaient chutés de manière catastrophique. Et je n'étais pas le seul dans la même situation.

Je méditais à tout cela pendant le trajet et sans m'en apercevoir, je me suis retrouvé devant le centre hospitaler. J'étais encore dans la voie centrale du boulevard Jacques-Cartier. Ça tournait rudement vite à présent dans ma tête. Je devais prendre une décision, et vite. Si je retardais l'examen, le même problème pourrait surgir à tout moment et pourrait s'alourdir par conséquent. Alors que si je me débarasse de cette tâche maintenant, je saurais une fois pour toute. Au pire, je perdrais une ou deux journées tandis qu'avec la première option, je pourrais perdre beaucoup plus.

Sans hésiter cette fois, l'adrénaline m'ayant donner des forces supplémentaires, je me suis diriger vers le stationnement de Pierre-Boucher. Il devait être près de 4h30. Le ciel était d'un noir d'encre et je distinguais à peine les étoiles, déjà en nombre plus restreint causé par la pollution lumineuse de la ville. Une fois l'Escape à sa place, j'ai marché vers la porte centrale pendant quelques minutes. En touchant la poignée, j'ai dû faire une pause: mon corps avait du mal à suivre. Je perdais mon souffle et je devais le reprendre. Des employés prenaient leur pause en grillant quelques cigarettes. Ils avaient dû me voir arriver mais ne firent pas attention à moi plus longtemps. J'étais déjà entré sur place et les quelques secondes de repos m'avaient suffit.

Je devais encore faire une autre bonne trotte pour arriver jusqu'à la salle d'attente de l'urgence. Située maintenant au 1er étage depuis sa rénovation, une marche d'un bon cinq à dix minutes depuis la porte principale n'est pas exagéré.  Une fois au 1er, il faut suivre les indications de l'URGENCE et se faufiler par la suite dans un corridor parsemé de multiples civières. Et celles-ci étaient presque toutes occupées. C'était pathétique à voir, une fois de plus. Système de santé de merde. Et ce n'est pas le pire, croyez-moi.

Je suis parvenu enfin devant le triage. Un gardien de sécurité se tenait devant les chaises vides. Ne sachant rien encore de la nouvelle politique de cet hôpital (fondé en 1982), l'agent se fit un plaisir de m'expliquer la nouvelle procédure. En premier lieu, je devais m'assoir sur le siège à proximité de la porte. Le dernier arrivé devait prendre le siège le plus éloigné et par la suite, changer de place pour arriver à l'autre bout. Un jeu de chaise musicale en quelque sorte. Mais cette nuit-là, ce vendredi matin, les chaises étaient vides. L'infirmière de garde me fit entrer après avoir jeté un oeil vers la seule personne assise avec ses deux cartes (la bleue et l'autre avec la photo) dans la main.

La suite des évènements ne durèrent qu'un bon quart d'heure. Après avoir pris ma température et ma pression artérielle,  qu'elle jugea trop élevée par ailleurs, elle m'avait demandé de lui montrer LA jambe en question. J'étais là pour cette raison me semble. À la vue de ce membre inférieur à tout le moins gonflée, elle m'avoua d'emblée qu'une thrombophlébite devait possiblement être à l'origine de cette douleur fulgurante qui me prenait lorsque je me tenais sur mes jambes. En tout cas, en demeurant assis, la douleur me quittait pour un temps.

Les examens sommaires étant terminés, je suis ressorti pour m'inscrire officiellement et mes deux cartes qui m'avaient été demandés depuis le début par la direction du Centre et dont les affiches étaient placées à des endroits stratégiques dans la salle d'attente, me furent demandées aussitôt après avoir pris place le siège placé devant la réceptionniste.  Seule une vitre trouée en son centre me séparait de sa personne. Après avoir tapé sur le clavier de l'ordinateur, elle s'assura que la personne physique assis devant elle était bien la même qui figurait, virtuellement parlant dans mon dossier médical. 

Une fois la question de l'identité réglée, elle me fit signer le formulaire de consentement des soins. Elle fit glisser la feuille sous la membrane de plexiglas et le stylo bien calé entre lepouce et l'index de la main droite, je cherchais désespérément la ligne sur laquelle je devais apposer ma signature. Ayant laissé ma paire de lunette dans le taxi, je m'étais retrouvé avec un handicap supplémentaire : la vue brouillée.

Après l'avoir trouvé grâce à la gentille préposée, elle me demanda de me rendre dans la salle d'attente parmi les autres candidats potentiels. La dernière étape avant de rencontrer le médecin. Pour le reste, c'était une question d'heures. La première ambulance arriva tout juste quelques minutes après mon entrée dans la grosse salle. Il y en aura encore plusieurs, dont une seule n'aura pas à promener son patient(e) depuis sa civière vers le cubicule du triage : c'était un cadavre.

C'est à suivre...


Ma signature autorisée

vendredi 25 septembre 2009

Saleté de maladie

Apparemment, ma santé ne va pas tellement bien ces jours-ci. Je dirais même que ça remonte à quelques semaines. Négligeance ? Possible. Mais vous savez quoi ? Je n'y peux rien. Si j'avais un boulot "normal" qui me permettrait d'obtenir des congés de maladie à chaque année, je pourrais en profiter sans me creuser la nénette en me demandant si je pourrai suffisamment subvenir aux besoins financiers de ma famille. Vive le taxi !

Ce matin, j'écris ce texte rapidement, je l'admet mais comme l'infirmière qui m'avait vu au triage à l'urgence de Pierre-Boucher me le conseillait, je dois y retourner avant 7h00 ce matin. C'est la raison pour laquelle je tente d'accélérer le mouvement. Mais j'ai une peur bleue des conséquences. LA peur de devoir subir l'hospitalisation.

N'ayant aucune assurance-santé comme couverture dans l'industrie du taxi (peut-être que certains chauffeurs peuvent en bénéficier ailleurs mais pas dans mon territoire du moins) et comme la seule assurance qui est couverte pour tous les chauffeurs comme tous les conducteurs au Québec, seule la SAAQ peut nous couvrir mais uniquement en cas d'accidedt de la route. Évidemment.

Et ce me pousse à me rendre à l'hôpital ce matin en 4e vitesse, c'est une surprise que j'étais loin de me douter d'avoir. Selon l'infirmière qui m'avait reçue hier après-midi - au même hôpital - dans son bureau de triage et à l vue de ma jambe gauche qui faisait le double par rapport à la droite (très enflée), je ferais une possible thrombo-phlébite. Je n'ai pas le temps de me rendre chez mon ami le Wikipédia pour en découvrir la définition mais je le saurai bien ce matin lorsque le doc m'aura examiné la jambe de plus près. En fait, il n'aura pas à la regarder de si près, l'enflure se voit tellement de loin ! Ça commence sous le genou et descend jusqu'au pied (le dessus du pied) sans aller jusqu'aux orteils, une maudite chance.

Et la douleur... Atroce. Je boite tellement la douleur me fait souffrir. Une douleur lancinante, aigüe et ça brûle comme sensation. Je ne peux marcher que sur de petites distances à la fois. Et en plus, je n'ai pas de souffle. Je dois savoir ce que j'ai. Absolument.

Je devrai sans doute passer des examens dont le test de Dopler qui consiste à vérifier si les artères dans ma jambe en question l'irriguent sufisamment. Je viens à peine de vieillir de quarante cinq années et je commence à me sentir comme un p'tit vieux aux prises à des problèmes de santé précaires et injustes. Je souhaite seulement que je puisse retourner à la maison et pouvoir dormir. J'ai travaillé cette nuit. Je suis crevé mais j'endure pour une bonne raison. Faut que je trouve la force de rester éveillé. Pas le choix. Je dois partir sinon je vais passer tout droit. J,ai donner ma parole à l'infirmière et je vais la tenir. Pas trop le choix.

Je vous tiendrai au courant de mon état de santé. Si je n'écris pas de commentaires sur vos blogues, ce sera parce que je serai "retenu à l'étranger"...


Ma signature autorisée

dimanche 20 septembre 2009

Oups !


Station Shell de Longueuil sur le boul. Jacques-Cartier Est

Voici ce qui m'a fait bondir en voyant le montant affiché sur le tableau des prix de l'essence à la pompe de la station Shell située à Longueuil sur le boul. Jacques-Cartier Est et au limite du territoirer de Boucherville.

Cette image fut prise à l'aide de mon BlackBerry et je sais qu'elle n'est pas vraiment superbe mais on voit au moins le principal : les chiffres rouges au diode. Il devait être tout près de 23h00 quand mon taxi est passé devant l'enseigne de cette pétrolière.


Un Shell à Boucherville sur le boul. De Mortagne

Cette photo fut prise quelques minutes plus tard. J'avais bien pensé que le Shell de Longueuil était une erreur d'affichage. Mais avouez que ça surprend...

Ma signature autorisée

Petite nouveauté : formulaire de courriel

Certain se sont étonné de voir un billet (Formulaire de courriel) s'afficher dans leur agrégateur de fils RSS. Je le sais. En fait, je faisais des tests pour améliorer mon nouveau formulaire de courriel. Vous me connaissez suffisamment pour savoir que malgré le look d'enfer (je l'adore vraiment) de mon blogue, j'aime bien simplifier la vie de mes lecteurs et lectrices. Pas les surprendre !

Donc, pour vous donner une idée de mon oeuvre et de mon savoir-faire (je me débrouille pas si mal dans ce domaine), je devais me créer une page de remerciement. Celle-ci doit en premier lieu vous accueillir lorsque votre message ainsi que l'image de vérification a bien été enregistrée. Ça prouve (hors de tout doute comme dirais mon avocate) que je pourrais recevoir votre courriel très rapidement, ou du moins, dans des délais raisonnables. Vous pouvez toujours l'essayer, je sais qu'il fonctionne. Je l'ai testé moi-même.

Vous allez me dire : pourquoi foutre un formulaire alors qu'une adresse de courriel ferait bien l'affaire ? Pour une meilleure simplicité et une économie de temps, à mon avis. Le formulaire (peu importe lequel) évite les pertes de temps. Il n'y a que cinq cases à remplir et le tour est joué. Alors qu'auparavant, il faut cliquer sur le lien de l'Email et attendre que Outlook ouvre... et ensuite que tu écrives ton message. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je trouve cette idée géniale. Pour le moment en tout cas. J'espère que je ne ferai pas fausse route !

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J'ai aussi créé mon nouveau favicon (l'image de Blogger qui s'affiche en haut à gauche de l'url de la page actuelle) : la photo de mon profil. Je ne sais pas si vous la voyez lorsque vous me visitez mais moi je sais qu'elle est bien là. Si jamais ça vous tente d'avoir la vôtre, faites-moi signe et je vous donnerai le lien pour un court tutoriel.

Je suis désolé de ne rien avoir à vous mettre sous la dent en terme de lecture mais ça viendra. Merci... :-)

P.S.: Le billet en question citée plus haut a été supprimé volontairement. Le commentaire de Drew aussi (désolé chummy) mais cette page ne me servait plus puisqu'il m'a fallu copier le lien du formulaire directement à la source, le formulaire ne pouvant pas s'afficher normalement et directement sur ma page de blogue comme je l'espérais.
Ma signature autorisée

mardi 15 septembre 2009

Patrick Swayze n'est plus

Un acteur de renom est décédé du cancer du pancréas hier (lundi) à son domicile de Los Angeles entouré de sa famille. Patrick Wayne Swayze avait 57 ans.

Il était devenu célèbre grâce aux films tel que Dirty Dancing (Dance Lassive - 1987), Ghost (Mon fantôme d'amour - 1990), Road House (Bar Routier - 1989) et Youngblood (1986) entre-autre.

Sa filmographie est plutôt impressionnante. Patrick est né le 18 août 1952 à Houston au Texas et est décédé le 14 septembre 2009 à Los Angeles à son domicile. Il était un danseur, acteur et producteur américain. Il est le fils d'un ingénieur, Jesse Wayne Swayze et d'une danseuse et chorégraphe, Patricia Yvonne Helen. Il a un frère également acteur, Don Swayze. Le patronyme « swayze » est d'origine normande.

Selon les sources de Wikipédia, il aurait débuté sa carrière cinématographique en 1983 comme danseur pour le film Staying Alive aux côtés de John Travolta. C'est Sylvester Stallone qui l'avait réalisé et produit. Il est la suite de la Fièvre du samedi soir de John Badham sorti en France le 5 avril 1978.

Sa vie personnelle et professionnelle fut bien remplie si l'on en juge par les révélations faites sur  le site de Wikipédia.

Pour terminer, je vous invite à visiter son site officiel (Official Patrick Swayze International Fan Club) et de lire le message offert par ses proches à la suite de son décès. Ses idoles sont invités à signer le Livre des condoléances et offrir ainsi à Patrick un dernier adieu en leurs noms.

Pour tous les fans de Patrick Swayze, voici le clip de She's like the wind extrait de Dirty Dancing, écrit et interprété par l'acteur disparu :



Mes sincères condoléances vont à la famille de Patrick Swayze. Qu'il repose en paix...
Ma signature autorisée

vendredi 11 septembre 2009

Et si c'était votre fille ?

Les images que vous aller voir sont bien réelles. Elles semblent cruelles à première vue mais nécessaires pour faire comprendre à ceux et celles qui seraient tenté de prendre leurs voitures malgré une soirée bien arrosée au bar du coin ou plus loin encore. Je vous laisse regarder attentivement...

Les images parlent d'elles-mêmes !

Quant à moi, ce qui me frustre le plus, ce n'est pas seulement le fait d'attendre, de poireauter sur notre poste de taxi mais de voir les nombreuses voitures qui roulent à vive allure à nos côtés et qui proviennent des stationnements des deux chics resto-bars de Boucherville. Pourtant, les stationnement étaient bondés et seulement un ou deux d'entre-nous n'a reçu qu'un appel de l'un ou l'autre de ces clubs. Surprenant ? Frustrant je dirais.

L'autre jour, j'avais reçu un appel justement pour le club Rack & Roll. Quatre jeunes gens embarquent et me demandent de les conduire à Longueuil, pas trop loin. En arrivant, ils payent et débarquent du taxi. Les quatre rembarquent dans leur voiture et quittent la rue pour se rendre ailleurs. Je ne me souviens plus trop de la ville mais ce n'était pas à la porte. WTF ? Je travaille pourquoi, moi ? C'est de l'insouciance carrément ou du suicide, je ne sais plus trop. C'est quoi la prochaine étape ?


La prison à vie pour ce récidiviste


Roger Walsh, 57 ans. Il sortira de prison vers ses 71 ans.

Enfin et pour une rare fois dans l'histoire de la justice au Québec, un récidiviste de l'alcool au volant vient de prendre son trou pour... la vie ! Après avoir fauché une mère de famille en fauteuil roulant, Roger Walsh avait reconnu les faits qui se sont produits en octobre 2008 devant le juge Michel Mercier de la cour du Québec.


C'était sa 19e condamnation pour avoir conduit avec les facultées affaiblies. Dix-neuf, bon sang ! Pourquoi avoir attendu à sa 19e offense, celle qui fut mortelle en fin de compte, pour l'envoyer à l'ombre pour le reste de ses jours ? La justice ne pouvait pas le faire avant qu'il la tue ? L'adage dit : mieux vaut tard que jamais. Mais dans ce cas-ci, il est déjà trop tard pour la victime...
Ma signature autorisée

jeudi 10 septembre 2009

Du nouveau à l'horizon

Il n'y a pas que le modèle de voiture qui a changé : le blogue aussi a subi une cure de jeunesse. Pardonnez-moi s'il n'est pas très original mais je devais m'assurer que le nouveau "header" créé spécialement par Léa puisse bien aller avec le reste du corps de la page. Merci Léa pour ce joli cadeau !


Évidemment, en acceptant de changer pour un layout différent, j'ai dû faire le sacrifice de mes principaux "gadgets". Mais heureusement que j'avais pensé à les sauvegarder. J'avais peur aussi d'avoir perdu mes abonnés fidèles, mais non. Une sacré chance, d'ailleurs. Le seul hic c'est de devoir recommencer à réinsérer les liens de vos blogues respectifs à mon blogroll. Il n'est pas trop long alors ça devrait être un jeu d'enfant.


Je n'ai rien d'autre à ajouter pour le moment. C'est le calme plat dans le domaine du taxi sur la Rive-Sud. Pour le moment, du moins. Je sais que je ne suis pas allé vous voir très souvent et je suis désolé. Sincèrement. Je ne vous oublie pas, croyez-moi.

Je vous remercie de votre patience...
Ma signature autorisée

mardi 1 septembre 2009

Merci pour votre message !

Je vous remercie pour m'avoir envoyé votre message et celui-ci est très important pour moi. Laissez-moi y jeter un oeil et je vous répondrai dans les plus brefs délais. Merci et à bientôt !

Je vous invite à cliquer sur l'un des liens suivants :


Jean-François  Ma signature autorisée

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